Confinement : Tout ce que vous devez savoir sur les compagnies de taxi
Comme nous le savons tous, la France est un pays le plus ciblé d’un confinement assez important et les habitants doivent rester chez eux pendant des semaines ou même des mois. Cette période est vraiment difficile, car tous les prestataires en déplacement : transport commun, taxi, VTC, etc. sont impacté. Bref, dans cet article, nous allons voir toutes les informations nécessaires sur le sujet.
L’activité est en baisse depuis le confinement
Artisan salarié d’une entreprise ou travaillant en son propre compte, les conducteurs de Taxi Saint Quentin en Yvelines ont aussi des droits. En fait, ils peuvent contester l’accès du véhicule à une personne qui présente des symptômes du Covid-19. Cela peut valoir si par exemple, une personne qui tousse. Comme tout salarié, un chauffeur peut aussi exercer son droit de retrait s’il juge que sa santé est mise en danger de façon critique et grave.
Depuis le début du confinement, s’ils ont le droit de travailler, les taxis doivent se constituer avec un contact en chute libre. Actuellement, la course se fait toutes les deux heures alors que d’habitude, elle se fait toutes les 20 minutes.
Selon la Fédération nationale des artisans du taxi, les chiffres ont démontré que les conducteurs avaient perdu 80 % de leur chiffre d’affaires depuis l’entrée en vigueur du confinement le 17 mars.
L’hygiène en déplacement est renforcée
Depuis cette pandémie, les plateformes de mise en relation, les chauffeurs de Taxi Saint-Quentin en Yvelines, et leur employeur auxquels ils ont faits ont pris des précautions pour pouvoir poursuivre à faire déplacer des clients en toute sécurité et tout en protégeant au maximum les conducteurs.
Alors que les contacts avec d’autres personnes doivent être limités pour éviter la propagation du virus, ce métier est nécessairement exposé en poursuivant d’exercer.
Dans la démarche de ce qui avait déjà été mis en place depuis le 17 mars et le début du confinement, les acteurs du transport individuel s’organisent aussitôt à une période de transition plus ou moins longue. Et à un « retour à la normale » qui pourrait sans doute ne jamais avoir lieu, la crise sanitaire en ce moment peut aussi mener de nouvelles pratiques qui vont s’imposer à l’avenir.
Les déplacements sont limités
Que ce soit pour vous rendre chez le médecin, les déplacements sont très limités. Si auparavant, certaines personnes avaient l’habitude de se déplacer en particulier avec un Taxi Saint–Quentin en Yvelines pour faire des achats de produits alimentaires. Comme c’est le cas pour les livraisons, certains décident de garder leur service pour que les clients puissent tout de même réaliser leurs courses. De plus, des professionnels ne sont pas capables de faire arrêter leur activité puisqu’ils peuvent honorer des déplacements s’ils possèdent une attestation.
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- Si vous souhaitez commander un taxi, pensez à vérifier que le service est toujours disponible que ce soit à Paris ou en province.
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- Certains taxis ont pu être abrités sous certaines conditions, les voitures sont établies avec des protections.
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- Le passager n’est jamais en interaction avec le chauffeur.
Toutefois, cela demande une certaine vigilance. En fait, tous les clients qui ont ou présentent des symptômes sont priés de ne pas faire une réservation en ligne pour la course. Cela permet de limiter la propagation du virus, mais aussi de ne pas contaminer le conducteur qui pourrait interagir avec d’autres personnes au cours de la journée. Si vous prévoyez de réserver tout de même une course, soyez sûr que votre état de santé est acceptable avec ce déplacement.
Moins de véhicules en service
Avec toutes ces précautions, les compagnies de Taxi Saint–Quentin en Yvelines souhaitent éviter une baisse trop conséquente de leur activité. Déjà malmenées depuis les précédentes semaines, les courses risquent toutefois de se diminuer, tout simplement, car les Français n’ont plus le droit de se déplacer. Les compagnies de Taxis ne communiquent pas le nombre de véhicules qui seront sur les routes demain et dans les jours à venir.
Certains pourraient toutefois les favoriser dans leurs déplacements exceptionnels pour ne pas avoir à prendre les quelques transports en commun encore en circulation. Les taxis, particulièrement avaient été appelés par le président de la République en soutien des personnels de santé qui auront besoin de se déplacer dans les prochaines semaines.
Un niveau de sécurité optimal aussi bien pour les chauffeurs que pour les passagers
La compagnie de Taxi Saint-Quentin en Yvelines se prépare aussi pour assurer un niveau de sécurité optimal aussi bien pour les passagers que pour les chauffeurs. D’autant que l’activité paraît repartir depuis la mise en place du déconfinement progressif depuis le lundi 11 mai.
D’après les chiffres, pendant le confinement, il n’y avait qu’un tiers de conducteur disponible pour continuer d’exercer sur le sol français, soit 3000 chauffeurs, pour 10 % de l’activité habituelle en moyenne.
Dans l’esprit de la compagnie de taxis, il faut aller plus loin que les précautions envisagées dans le nouveau décret publié le 11 mai, qui fixe les conditions sanitaires pour les taxis et VTC.
Depuis le début du mois d’avril, elles offrent des protections flexibles et transparentes à ses chauffeurs partenaires, ainsi qu’un nettoyage complet de l’habitacle à l’ozone.
En plus du confort, qui fait partie de leur objectif, les compagnies de taxi ont misé sur cette image d’excellence sanitaire.
À cela s’ajoute une formation particulière à ce nouveau protocole sanitaire, qui envisage particulièrement la désinfection des zones de contact passager et l’aération de l’habitacle entre chaque course en plus de la mise à disposition de gel hydroalcoolique à bord des voitures.
L’idée est aussi de se correspondre à une nouvelle forme de clientèle. Des salariés particulièrement, qui usent désormais un Taxi Saint–Quentin en Yvelines comme solutions aux transports en commun pour des trajets domicile-travail. De quoi compenser, uniquement en partie, l’éboulement de l’activité liée au tourisme.
Le décret du 11 mai dernier précise que, comme les usagers des transports en commun, les passagers d’un taxi ou d’un VTC, à partir de 11 ans, devront porter un masque.